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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 15:09

empireSigmar a repoussé les envahisseurs orques et fondé l’Empire en unifiant les tribus des hommes. La jeune nation se développe, mais sa prospérité est menacée ; le pays est encore sauvage et maints ennemis rôdent toujours dans ses forêts et ses montagnes. Lorsqu’une incursion chaotique descend de Norsca, la vaillance de Sigmar et de ses vassaux est poussée dans ses derniers retranchements…

 

Deuxième tome de la trilogie relatant la vie de Sigmar Heldenhammer.

Dans cet opus, nous retrouvons le fondateur de l'Empire quelques années après le premier tome et la fuite de Gerréon. L'Empire est né et son Empereur en la personne de Sigmar se doit de veiller aux valeurs de sa puissance. Et vous vous en doutez, l'Empire est menacé, trahison, tribus du nord et invasion du chaos... Vous y trouverez énormément de batailles, de sang et d'actes héroïques.

La quantité de personnages dans ce roman est assez importante mais pas une seule fois vous vous perdrez dans les dialogues ou dans la compréhension des rivalités et des enjeux de chacun.

Le roman est bien réalisé, malgré le fait que l'histoire n'est qu'une succession de combats. L'écriture est facile à lire et l'auteur a réussi à éviter avec brio les lourdeurs que vous aurez l'habitude de retrouver dans les romans de la gamme Warhammer. C'est peut-être ce qui lui aura permis de remporter le David Gemmell Award 2010. Mais des deux romans lus de cette trilogie, j'ai toujours une préférence pour le premier.

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 20:00

nagashimplacAyant subi une défaite cuisante contre les prêtres-rois, le puissant nécromant Nagash n’a d’autre choix que de battre en retraite dans les montagnes de Nehekhara. Il finit par recouvrer des forces et trouve de nouveaux alliés, les skavens, des hommes-rats mutants qui vivent sous terre. Dans son tout nouveau repaire du pic Dolent, lenécromant découvre le noir pouvoir de la malepierre. Convoitée par les skavens, cette roche magique pourrait bien offrir à l’abject Nagash une puissance sans limites…

 

Deuxième tome de la trilogie de l'Avènement de Nagash.

Bien que dans le précédent épisode, notre héros se retrouve très mal en point, dans ce dernier opus, il renaît par un heureux hasard (Gloire aux Rats)... Et c'est avec courage et pugnacité qu'il arrive à rebâtir un Empire.

Mais ce roman ne retrace pas uniquement la renaissance de Nagash, mais aussi de ses secrets tombés entre des mains qui convoîtent ses sombres pouvoirs. Et pendant la plus grosse partie de l'histoire, on se retrouve à suivre les péripéties de Néferata, Reine de Lahmia. Nagash n'étant plus qu'en toîle de fond.

Bien sûr, j'imagine facilement que l'auteur met en place le dernier épisode et le dernier chapitre laisse présager de nouvelles batailles.

Un roman qui se lit assez facilement mais qui m'a un peu déçu par les personnages traités. Je m'attendais à une suite logique au premier tome et l'auteur nous emmène dans d'autres directions, éloignant ainsi notre héros du premier plan.

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 11:04

renegatsIls étaient neuf. Neuf chevaliers dévoués corps et âme à la protection du royaume et au respect de la justice. Neuf chevaliers qui ne sont jamais revenus après avoir franchi un portail magique. Depuis, un nouvel ordre les a remplacés, celui des chevaliers rouges, celui du mal et de la corruption. Pourtant, un espoir demeure. Car l'un des neuf est resté de ce côté-ci du portail, sauvé par sa lâcheté. Mais pour reprendre le royaume, il lui faudra retrouver son honneur perdu et découvrir ce qu'il est advenu de ses compagnons, car eux seuls sont capables de mettre un terme au règne terrible des chevaliers rouges.

 

Cela faisait quelques temps que je ne lisais plus de fantasy, et c'est avec un plaisir non feint que j'ai attaqué ce romand de David Gemmell, le premier que je lis de cet auteur.

Ce roman est bien écrit et l'histoire est très bien menée. L'auteur nous décrit tous les décors de manière précise et il est assez aisé de s'imaginer dans quel environnement oeuvre les personnages.

Les personnages sont assez nombreux et j'avoue m'être un peu perdu quelques fois tant les noms sont assez ressemblants, mais ils sont aussi très bien décrits et on arrive facilement à en aimer quelques-uns qui peuvent être loin d'être sympathiques comme Agrain.

L'histoire, bien qu'assez simple, est bien menée, mais j'ai trouvé que la fin était bâclée. Je ne m'attendais pas à lire ça, et pour tout dire, j'ai même été très déçu. J'ai l'impression que l'auteur s'est débarrassé de ce roman par une fin écrite à la va-vite. Je dirais que j'ai eu une grosse, mais très grosse déception lorsque je suis arrivé à la dernière ligne, alors que l'auteur m'avait transporté avec une grande facilité jusque là.

Les héros meurent en sacrifiant leur vie, et les ennemis rendent leur dernier souffle en essayant d'expier leurs crimes.

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 09:45

leglaivedejusticeEn l’an de grâce 1213 après Jean-Baptiste, le roi Amalrik III le Vil, monarque absolu de tout le pays franc, et le Pape noir Gontran le Défiguré décident de conquérir les royaumes de Katland et d’Ock afin d’y imposer leur puissance temporelle autant que spirituelle.

Alors que les troupes du roi d’Ock Bérenger V et du roi Pere IX de Katland rencontrent celles d’Amalrik dans la plaine de Murèl, débute la saga d’un chevalier katalan : Xavi El Valent et sa quête du Glaive de Justice…

 

Avant de commencer cette chronique, je tiens à remercier et BoB et Rivière Blanche pour ce partenariat.

Ce n'est pas souvent que j'ai l'occasion de lire un roman écrit par trois auteurs. Celui-ci est divisé en trois parties, et vous l'aurez compris, chacune aura été écrite par l'un des auteurs.

C'est Gildas Girodeau qui traite la moitié du roman, qu'il prend vers le milieu. J'ai trouvé dans la manière d'écrire des similitudes entre les deux premiers auteurs, Darnaudet et Ward, ce qui évite d'être déstabilisé en quittant le premier pour le second. C'est un récit rapide donnant au lecteur de l'émotion immédiatement. Girodeau ajoute lui beaucoup de consistance dans son récit et des chapitres faisant quelques paragraphes, on passe facilement à plusieurs pages pour le troisième auteur.

Ce roman se déroule au moyen-âge dans le sud-ouest de la France. Mais la ressemblance avec l'Histoire s'arrête là. Nous nous retrouvons en réalité dans un univers fantasy avec de la sorcellerie, des monstres et des prophéties qui se réalisent. La saga commence et place les héros. Et on s'attache rapidement à Xavi et ses compagnons. Les situations de combats sont très bien décrites réalistes

C'est un bon roman de fantasy mais certains détails m'ont ennuyés comme les flèches en mode "explosion". Girodeau devait énormément jouer à D&D ou a lu Les Royaumes Oubliés pour déraper un peu. C'est ennuyeux car les quelques "erreurs" se trouvent dans les dernières pages du roman, et malgré le grand plaisir que j'ai eu à le lire, je reste sur un avis favorable et mitigé à la fois.

J'espère pouvoir lire la suite de cette saga qui s'annonce intéressante, en espérant que les dérapages malencontreux ne se reproduiront pas.

Je remercie BoB et Rivière Blanche pour ce partenariat.

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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 00:00

lafindepartie.gifSoudain jaillirent du sol des formes ténébreuses : silhouettes immenses, robes noires, masques d'acier étincelants. Elles avaient surgi à l'endroit le plus inattendu, entre les rangs mêmes de l'armée. Un jeune chevalier mimbraïque en avisa une à ses côtés et sabra. A l'instant où sa lame traversait l'ombre, il fut frappé par la foudre. Des tourbillons de fumée s'élevèrent des fentes de son ventail et il grilla dans son armure. Ce'Nedra, la Fiancée de Lumière, crispa la main sur son amulette et ferma les yeux : "Aide-nous, Belgarath ! Nous allons être écrasés !" A quoi servait de l'appeler ? Sana doute avait-il atteint la Cité de la Nuit, où Torak s'éveillait au milieu des ruines. L'immense geste s'achevait dans le fracas des armes, et l'enfant de la prophétie n'était pas prêt. La guerre de sept mille ans allait finir par la victoire du Dieu-Dragon des Angaraks !

 

C'est le cinquième et dernier épisode de la Belgariade. Et en toute honnêteté, si cinq volumes à lire vous font peur, ce dernier devrait effacer vos craintes et vous donner envie d'aller jusqu'au bout. C'est malheureusement les dernières pages que vous lirez en compagnie de Garion, Pol, Durnik, Belgarath et les autres, mais c'est un réel plaisir que de les voir affronter les obstacles qui jalonnent leur quête. Vous y trouverez des actes d'amour et de grand héroïsme, comme dans toutes les bonnes sagas et les morts qui vont avec.

Fidèle aux autres épisodes, l'histoire, les personnages, l'intrigue sont mis en place par une magnifique écriture. On regrette que la Belgariade ne comporte que cinq chants.

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 10:33

latourdesmaléfices

Garion monta sur le trône de basalte et plaça l'Orbe sur le pommeau de l'énorme épée.
Il y eut un déclic ; la force vive de la pierre fusa dans la garde. La lame se mit à luire et se détacha du mur. Il la rattrapa des deux mains. La foule dans la salle réprima un halètement. Garion sidéré vit l'Orbe jeter une formidable langue de feu bleu. Sans trop savoir pourquoi, il souleva le glaive. "O joie, le roi est revenu, la prophétie s'accomplit ! clama Belgarath. Inclinons-nous devant Belgarion, roi de Riva, suzerain du Ponant !" Et la prophétie suivit son cours.
Au cœur du tumulte, on entendit un bruit métallique, comme si une tombe scellée par la rouille venait de s'ouvrir. Garion en fut glacé. Arraché à des siècles de sommeil, un cri de rage surgit des ténèbres et réclama du sang. Mais ce n'était pas le pire.Torak était de retour, et il tremblait, le dieu défiguré !

 

Quatrième tome de la Belgariade, ce roman nous présente la suite des aventures de Garion. C'est avec un énorme plaisir que se lit ce quatrième opus. L'écriture reste toujours aussi facile à lire et fluide. Les personnages sont toujours d'une grande qualité. En finissant ce roman, mon point de vue concernant cette oeuvre reste toujours le même et aurait même tendance à s'accentuer. La Belgariade de David Eddings est de la grande Fantasy, qui mérite le succès que les oeuvres de Tolkien connaissent. A lire, absolument...

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Fantasypourlesnuls

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 09:19

gardiendugraal

L'action se déroule au Moyen Age, en Angleterre et en Terre Sainte.
Tristan, 11 ans, a été recueilli par les moines de l'abbaye de Saint-Alban à sa naissance. Vraisemblablement d'origine noble, Tristan ignore tout de sa famille.
Un jour, un groupe de Templiers en route pour Douvre, d'où ils embarqueront pour la Palestine, fait étape à l'abbaye.
Tristan est remarqué par le valeureux chevalier Thomas Leux qui lui propose de devenir son écuyer. Le même jour, Tristan se fait un ennemi mortel en la personne de Sir Hugh, un autre Templier. Avide de connaître le monde, il accepte néanmoins la proposition de Sir Thomas.
à Douvre, le jeune Templier est présenté à Richard Cœur de Lion, sur le point d'appareiller pour la terre Sainte.
à la vue de Tristan, Richard éprouve de l'étonnement et de la peur, comme si il croyait reconnaître en ce garçon quelqu'un de sa connaissance…
Tristan prend la mer puis fait l'apprentissage du métier d'écuyer. Lors de son premier combat contre les Sarrasins, il se comporte en héros, et sauve la vie du roi.
Mais les Templiers sont faits prisonniers, dans la ville de Saint-Jean d'Acre, assiégée par les Sarrasins. Sir Thomas confie alors une mission extraordinaire à Tristan. Il va devoir quitter la ville, dans le plus grand secret, et rapporter le Saint-Graal, que Sir Thomas a en sa possession, en Angleterre.
Commence alors un périlleux voyage pour Tristan, au cours duquel il se fait deux alliés, le jeune archer du roi Robard Hode et la jeune fille Maryam. Poursuivi par les séides de Sir Hugh, qui veut mettre la main sur le Graal, Tristan et ses amis parviennent in extremis à s'embarquer pour l'Angleterre sur un vieux rafiot.
 
Je tiens à remercier BoB et les Editions Tourbillon pour ce partenariat qui nous a permis, à mon fils et à moi, un roman et auteur.
Skritt - Voilà, je viens de finir Le Gardien du Graal, comment l'as tu trouvé ?
REM - Bien. Il y a de l'action et c'est ça que j'ai préféré.
Skritt - Oui, pour avoir de l'action, il y a de l'action. On est pris dans le mouvement, et l'auteur ne nous laisse pas souffler un seul instant. Et qu'as tu aimé dans ce livre ?
REM - J'ai bien aimé les personnages de l'histoire sauf un, Sir Hugh. Sir Hugh veut s'emparer du Graal et il est prêt à emprisonner Tristan pour le récupérer.
Skritt - En lisant ce roman, toutes les recettes pour plaire aux jeunes sont bien présentes. On se repère facilement dans les scènes, les décors sont décrits suffisamment bien pour que l'enfant puisse comprendre et se fondre dans l'environnement. Les personnages sont assez caricaturés. Dés le départ, on connaît le méchant. L'intrigue est très linéaire et on a aucun mal à se retrouver dans l'histoire. Dis moi REM, as tu eu du mal à la lire, l'histoire ?
REM - J'ai trouvé que ce livre était facile à lire. Il n'y a qu'un mot que je n'ai pas compris, c'était cimeterre, mais tu m'as expliqué ce qu'il voulait dire.
Skritt - En effet, l'auteur a travaillé pour que toutes ses phrases soient facilement compréhensibles, et il est vrai qu'à part un ou deux mots, tout est plus qu'abordable. Je regrette juste que pour certains termes l'auteur n'ait pas donné plus d'explications historiques comme pour "Assassin".
REM - Je voulais dire aussi que j'ai adoré la scène où Tristan se fait attraper par des bandits et Robard, l'ancien archer du Roi, qui se trouvait dans le coin le sauve.
Skritt - Je dois avouer que la scène est très bien décrite et on a même un peu peur que Tristan y reste. Tristan a même l'occasion d'être sauvé par un personnage mythique, mais je vous laisse le découvrir en lisant le roman. Un petit mot avant de nous quitter REM ?
REM - C'est le premier roman que je lis avec autant de pages, et je serais content de lire le tome 2.
Skritt - Dés que tu le finis, tu me le prête ?
Nous remercions BoB et Tourbillon.

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 09:16

gambitdumagicienPuis le soleil sombra dans les bancs de nuages, le long de l'horizon déchiqueté, et baigna d'une lueur malsaine la sinistre forteresse. Ce fut comme si les murs saignaient, comme si tout le sang versé sur les autels de Torak depuis le commencement des âges éclaboussait d'un coup la cité de la peur. Tous les océans du monde n'auraient pas suffi à la laver. Un cri d'agonie emplit l'espace. Garion épouvanté leva la tête. "C'est la saison de la blessure, dit Belgarath. La saison où jadis l'Orbe a brûlé Torak. Le moment propice aux sacrifices humains." L'Orbe... L'Orbe était là, aux mains du voleur. Garion regarda ses compagnons. Il fallait récupérer la pierre où palpitait la vie. Le sort des royaumes du Ponant en dépendait. Mais le lendemain matin, verraient-ils le soleil se lever ?

 
Les enjeux de la quête sont enfin définis clairement dans ce troisième volet de la Belgariade. Chaque personnage prend réellement son importance dans le groupe d'aventuriers et nous comprenons pourquoi il y a tant de disparités dans le choix des membres de cette petite communauté. Garion, malgré son entêtement, apprend petit à petit à maîtriser son pouvoir avec l'aide de Pol et Belgarath. On découvre que Silk, l'homme au visage de fouine, est extrêmement cynique. Et un nouveau personnage intègre l'histoire, agaçant mais indispensable.
Les dialogues sont toujours aussi savoureux, et les prises de bec entre la princesse et Garion nous font passer un bon moment. Mais les différentes races qui peuplent cet univers sont à mon avis trop caricaturées, c'est tout noir ou tout blanc et il manque de nuances. A ce stade de l'histoire, on ne peut pas nier l'intérêt que l'on porte à la suite qui sera donner dans le prochain volume tellement l'histoire, très bien ficelée, nous donne envie d'aller plus loin. Le Gambit du magicien est un très bon roman, bien écrit comme les deux romans précédents, et marque un tournant important dans la quête de l'Orbe et malgré un point négatif que j'ai relaté juste à l'instant, Le Chant de la Belgariade reste jusqu'à présent l'une des meilleures histoires de Fantasy que j'ai peu lire à ce jour.

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Fantasypourlesnuls 

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8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 07:00

seigneurdelaruineDans l’univers de Warhammer, les elfes noirs sont craints et vénérés pour leur nature éminemment maléfique et traîtresse. Nul représentant de cette espèce n’est plus tristement célèbre que Malus Darkblade. À l’issue du périple semé d’embûches qui lui permet de retrouver cinq reliques, Darkblade doit les rapporter au démon ancestral qui détient son âme, sans quoi il devra renoncer à la vie. Mais après une année de duperie, Tz’arkan honorera-t-il sa part du contrat ou tentera-t-il de tromper Darkblade une dernière fois ?

 

Le meilleur volume de la série permet à Malus Darkblade de finir en héros auprès de ses pairs. Le démon qui le possède jusqu'aux dernières pages se fait même avoir par cet elfe noir à la haine féroce et enracinée au plus profond de lui-même.
On se retrouve au milieu de grandes batailles avec Darkblade qui prouve encore une fois ses valeurs stratégiques au nom de Malékith en personne face à sa soeur préférée et une petite surprise qui ravira tous les lecteurs de la pentalogie... Je n'en dis pas plus, je vous souhaite de vous régaler dans ce dernier volume qui est nettement au dessus des précédents, de par l'histoire, les scènes... Bonne lecture...

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 20:14

reinedesortileges

Horreur ! Le dieu pervers, Torak, va s'éveiller ! Les temps sont venus, l'univers vacille et Belgarath se hâte : il n'est que temps de retrouver l'Orbe d'Aldur, le joyau du destin, qui peut sauver les hommes de la colère des dieux.
De la brumeuse Arendie à la putride Nyissie, patrie des Hommes-Serpents, Belgarath entraîne Garion sur une route semée d'embûches. Garion, le petit paysan qui n'a jamais cru aux sorts, ne sent pas la haine qui le menace, ne comprend pas ces femmes qui se pressent autour de lui : une pour l'instruire, une pour le séduire, une pour le réconcilier avec les pouvoirs dont il ne veut pas... Est-ce lui, l'Enfant de Lumière, le descendant des rois de Riva, l'enfant marqué par les présages, de toute éternité, pour affronter Torak ?

Cette deuxième partie met en place tous les personnages et nous comprenons mieux tous les enjeux de chacun dans l'histoire. Les dialogues sont toujours un très grand plaisir. Garion, le petit paysan, prend petit à petit conscience de ses pouvoirs, et son caractère juvénile de petit adolescent qui ne sait pas ce qu'il veut ni où il va est décrit d'une très belle manière. Ce deuxième volume est du même niveau que le premier et donne toujours autant envie de continuer. Dommage qu'il se lise aussi vite...

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Fantasypourlesnuls

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