Manhattan est en proie à une mystérieuse vague de meurtres. Barry Donovan, flic New Yorkais dévoré par le désespoir, mène une difficile enquête. Au détour d’un salon de discussion sur Internet, il fait la connaissance de Werner. Personnage passionnant et hors du temps, il se révèle un ami bien peu commun…
Ce thriller fantastique marque le début des aventures de Werner Von Lowinsky. Des collines de la Virginie au cœur de Manhattan, de la guerre de sécession à nos jours, on se laisse emporter par le flot hypnotique du premier roman de David S. Khara.
En compagnie du plus humain des vampires, découvrez les secrets enfouis dans les Vestiges de l’Aube.
Je tiens avant de commencer la critique à remercier vivement BoB qui grâce aux partenariats qui sont organisés sur leur site et dont c'est le deuxième auquel je participe m'a fait découvrir des auteurs que je n'aurais peut-être jamais lu. Et je remercie encore plus vivement et je devrais même dire chaleureusement l'auteur David S. Khara qui aura pris la peine de dédicacer l'ouvrage que j'ai entre les mains. Je sais, ce n'est pas grand chose, mais c'est le genre d'attention qui fait énormément plaisir et je dois avouer que cela m'a extrêmement touché. Voilà, j'ai dit ce que j'avais à dire, que la critique commence...
Je qualifierais ce premier roman de David S. Khara d'épisode pilote d'une nouvelle série qui, pour l'auteur et son éditeur je l'espère, sera longue. Et dans ce pilote, nous retrouvons tous les ingrédients du premier épisode. Le roman est certes court, mais permet la mise en place des personnages principaux que sont Werner et Barry.
Et si le diable était le nom donné par les hommes à leur propre folie pour se dédouaner de l'insupportable réalité de leur nature profonde ?