Unique dans l’œuvre de David Foster Wallace, nécessaire et accessible à tous, une courte allocution, mais vraie leçon de philosophie, profonde et inspirée, pour garder la force de vivre et nous inciter à la compassion.
Né en 1962 dans l’Illinois, David Foster Wallace commence à être publié dans les années 90 aux Etats-Unis. Il est auteur de nombreux essais et recueils de nouvelles, ainsi que d’un roman épique, Infinite Jest, à paraître au Diable Vauvert. Ses thèmes de prédilection sont la culture américaine, la dépendance sous toutes ses formes et l’excès.
Le 12 septembre 2008, âgé de 46 ans, il s’est suicidé à son domicile de Claremont en Californie.
Avant de commencer cette chronique, je tiens à remercier BoB et les Editions Au Diable Vauvert pour ce partenariat.
Voici le premier ouvrage philosophique que je lis et que je m'apprête à critiquer. Je dois avouer que cette allocution, bien que trop courte, est très intéressante. C'est un ouvrage à lire, absolument. J'ai trouvé ce texte extrêmement intéressant, avec lequel il nous faut continuer à en discuter. Je comprends mieux les réactions de certaines personnes, mais j'aimerais pousser la réflexion.
Nous imaginons que l'université est censée nous apprendre à réfléchir, mais est ce que ce ne serait pas plutôt le contraire. Est ce que l'enseignement à l'université ne pousserait pas les jeunes diplômés à réagir de cette manière...
Je remercie BoB et Au Diable Vauvert pour ce partenariat.
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