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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 19:15

serastula

Un seul geste aurait suffi pour tout changer. Qui n'a jamais rêvé de revenir à cet instant décisif où le bonheur était possible ?
San Francisco. Elliott, médecin passionné, ne s'est jamais consolé de la disparition d'Ilena, la femme qu'il aimait, morte il y a trente ans.
Un jour, par une circonstance extraordinaire, il est ramené en arrière et rencontre le jeune homme qu'il était, trente ans plus tôt. Il est revenu à l'instant décisif où un geste de lui peut sauver Ilena.
Et modifier l'implacable destin qui a figé son sort à jamais.
Un stupéfiant face-à-face, Une histoire d'amour bouleversante, Un suspense à couper le souffle.

 

Pour ceux qui n'ont pas lu de Musso, c'est un écriture facile et très fluide. Inutile de sortir le dictionnaire, vous comprenez tous les mots sans vous forcer. Mais Musso, c'est surtout une intrigue prenante. Et ce livre ne déroge pas à la règle. On est pris du début jusqu'à la fin. L'histoire est bien menée avec des rebondissements surprenants. J'ai avalé ce bouquin en un rien de temps, mais j'ai trouvé le final un peu décevant. On s'attache au personnage principal et son ami de toujours en espérant que la fin les épargnera.

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17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 20:03

fog Cela commença par un tremblement de terre. Dans la confusion, au milieu des cris des victimes, personne ne prêta vraiment attention à ce brouillard jaunâtre qui s’échappait de la terre éventrée et que le vent eut tôt fait d’emporter vers la campagne anglaise. Puis des massacres inexplicables, déments, furent signalés sur le passage de la nappe de brouillard. Elle se mit à croître, progressant inexorablement vers les zones les plus peuplées d’Angleterre…

 

Un roman catastrophe de James Herbert qui ne nous change pas trop du style habituel de l'écrivain. L'histoire se déroule à Londres dans les années 70. Je dois avouer que j'ai été un peu déçu par le roman car la trame utilisée ressemble étrangement à celle utilisée dans Les Rats du même auteur. Nous avons droit à des scènes d'horreur très bien décrites, à une petite scène d'amour comme d'habitude, et à une histoire très bien menée et qui arrive à nous tenir en haleine jusqu'à la fin. Je n'aurais pas lu la trilogie des Rats, j'aurai été emporté par ce roman, mais…
C'est un bon roman mêlant horreur et fantastique dans le monde d'aujourd'hui que je conseille de lire si vous n'avez jamais lu James Herbert, les autres feront ce qu'ils veulent mais ne me reprocherons pas de les avoir prévenus.

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 19:25

flambeaurancunesRespectez vos ancêtres… Ne vous fiez jamais aux elfes… Et ayez toujours la rancune tenace !
Le roi des nains Throndin Pierrecoeur de Zhufbar est mort, victime d’une traîtrise perpétrée sur le champ de bataille… En lui succédant sur le trône, drapé de l’hermine royale, son fils Barundin ne doit pas faillir à l’honneur mais jurer vengeance par les mânes de tous ses aïeux ! Dans un palpitant récit dont le souffle épique traverse les siècles, Le Flambeau des Rancunes suit les belliqueux progrès de Barundin qui lance une offensive tout azimut contre ses ennemis dans sa quête effrénée de engeance, déterminé à faire payer très cher les torts causés à son père, tout en livrant de front une terrible guerre à outrance contre les sombres forces du Chaos…

Nous avions un roman sur les elfes sylvains, les vampires, les hauts-elfes et une pentalogie sur les Drucchi. Et voici le roman sur nos amis les nains. Il manque maintenant un roman sur les halfelings.
L'histoire relate la vie du roi de Zuhfbar. Elle nous transporte au fil des siècles et nous fait découvrir la vie des nains qui reste très liée à leurs rancunes. Un livre plein de bons combats bien sanglants, une histoire qui nous mène d'une guerre contre le chaos à une autre. Nous comprenons maintenant le pourquoi de leur attrait pour l'or. Les nains sont une race particulière et il était nécessaire d'en faire un roman.
C'est un roman que je juge indispensable pour tous les meneurs et tous les joueurs qui souhaitent incarner des nains. On y trouve un background très intéressant et nécessaire à la bonne compréhension de cette race. Et même si vous n'êtes pas un meneur ou un nain dans vos parties, il est tout de même très bien écrit et l'histoire est très intéressante.
Un roman au dessus de la moyenne et qui devra faire partie de votre bibliothèque.

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 08:42

tueurdegeants

Une ombre s'étend sur l'île d'Albion balayée par les orages et les tempêtes. De sinistres créatures parcourent la lande et les oracles prédisent le retour d'un grand malheur.
Gotrek et Felix n'ont d'autre choix que de lutter contre d'ignobles maléfices qui menacent la population avant qu'ils n'enflent et n'en fassent autant sur le monde entier. Avec l'aide du grand mage elfique, Teclis, ils doivent découvrir les secrets des Anciens. Seulement alors ils pourront espérer sauver l'innocent et contrecarrer les desseins des sombres puissances.

Une histoire dont on devine la fin malheureusement un peu trop tôt... Assez basique dans la trame, les aventures de Gotrek et Félix nous mène jusqu'en Albion où les meneurs et autres joueurs passionnés de détails apprendront de nouvelles choses sur cette île lointaine, sur les elfes, les anciens et les slanns...
Un roman pas trop ennuyant qui laisse présager des derniers épisodes encore plus épiques...

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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 20:23

betedevelours

Un tueur rôde dans les rues d'Altdorf. Ancien membre du guet disgrâcié, Harald Kleindeinst, dit "le Charognard", réintègre ses fonctions pour une mission unique : mettre un terme au règne de terreur de celui qu'on a surnommé la Bête et découvrir sa véritable identité, qu'il s'agisse d'un roturier, d'un aristocrate ou d'une ignoble créature du Chaos ! Tout se résume à une question cruciale : que dissimule le velours vert ?"

On se demande ce que ce roman fait dans la trilogie de Geneviève la Vampire !!!
Un roman qui se lit facilement et on se prend assez vite au jeu, mais les fausses pistes trop flagrantes nous incitent à croire à une chute bien différente, et qui personnellement m'aura bien laissée sur le c..
Je le situe dans la moyenne... sans plus...

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 16:12

lesrats Londres subit une attaque nucléaire et la ville est quasiment détruite. Ceux qui ne meurent pas pendant les explosions meurent à cause de la radioactivité, de la famine et des maladies.
Mais certains ont réussi à s'enfuir et à se cacher dans des abris (gouvernementaux). Il y a de longs passages qui décrivent les derniers instants des citoyens pendant l'attaque nucléaire sans rapport avec les rats. Mais ils sont bel et bien là, à attendre leur heure. Ils sentent alors qu'ils peuvent avoir le dessus et attaquent alors.
Ajoutés à la catastrophe humaine, les Rats deviennent l'ultime menace des hommes. Les rescapés font la rencontre des Rats mais malheureusement, pour un livre traitant des rats, elles sont trop courtes.
Une histoire d'amour naît entre deux rescapés et on les suit de l'attaque nucléaire, leur entrée dans le bunker, leur sortie du bunker poussée par l'arrivée des rats, leur sortie dans Londres et la recontre avec d'autres rescapés, l'entrée dans le bunker du QG général du Royaume-Uni, leur sortie du QG et leur sauvetage final.
Et le pire, c'est que les Rats n'avaient rien demandé, ils étaient là sans vouloir passer à l'attaque jusqu'à ce qu'ils se sentent menacés par l'intrusion de l'homme dans leur milieu.

Ce dernier tome est le moins bon de tous.  C'est dommage, mais c'est le moins bon parce qu'il y a moins de rats. Ils auraient pu faire une très bonne histoire sur l'extermination de l'homme par l'homme mais pour une trilogie concernant l'horreur et les rats, il manque quelque chose.

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 15:56

lesrats Quelques années plus tard dans la forêt d'Epping dans la banlieue de Londres, des signes avant-coureur ne sont pas de bons présages pour l'avenir. Des animaux se font trucider, quelques humains aussi. Mais la société de dératisation accompagnée des militaires enrayent la menace avec des gaz. Mais Quelques rats arrivent à s'en sortir car le repère ne se trouvaient pas dans les égoûts mais dans la cave d'une porcherie...

Cette deuxième partie n'est pas du même niveau que la première partie. On a l'impression que l'on a fait un copier-coller dans un autre environnement. Il manque un renouvellement. Les descriptions des scènes sont toujours assez bien faite. Et la première scène d'amour décrite sur plusieurs pages est vraiment bien écrite. Il est vrai que le niveau est en chute libre sur cette deuxième partie et c'est dommage.
Encore une fois, les humains arrivent à exterminer les petits rats sympathiques (snif).

Un Rat ça va, deux Rats, bonjour les dégâts...

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 20:34

lesrats Ils avaient appris à vivre dans l’ombre, furtivement, à sortir surtout la nuit et à craindre les hommes. Puis soudain ils commencèrent à prendre conscience de leur force et à prendre goût à la chair humaine. à leurs dents tranchantes comme des rasoirs, à leur nombre venait s’ajouter une arme supplémentaire : l’horreur et le dégoût qu’inspirait leur multitude grouillante. Bientôt on découvrit les restes ensanglantés des premières victimes...
 

Londres, milieu des années 70, un adolescent se fait agresser par un petit groupe de rats. Son professeur le mène à l'hôpital, où il découvre qu'une autre attaque de rats a eu lieu. Rien d'alarmant, certainement une coïncidence.
Mais le lendemain, on l'appelle pour venir faire une déposition, l'adolescent est mort dans d'horribles souffrances. Le problème, c'est que d'autres attaques ont eu lieu. Et tout va s'enchaîner rapidement, les attaques anodines deviennent des batailles rangées entre les rats et les humains. Ainsi, des commerces, des habitations se font attaquer et aussi l'école du professeur.
Mais le gouvernement réagit et trouve une solution pour éradiquer la menace...

Un roman de frissons. J'ai adoré lire cette première partie. On tombe rapidement dans l'horreur. Les rats n'étant pas déjà appréciés des humains, mais les descriptions réalistes, la violence des mots vous dresseront les poils dans le dos... Un livre à surtout lire et certainement relire... Un chef d'oeuvre pour l'époque et qui le reste malgré les années...

Vive les Rats, gloire aux Rats...

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 20:29

horsjeu

Dunk Hoffnung, l'aspirant quarterback vedette, est de retour et, malheureusement, ce n'est pas un retour triomphant. Ses rêves de gloire et de célébrité dans le Blood Bowl, ce sport ridiculement violent, se sont envolés. Mais un bon joueur ne crie jamais pouce (bien qu'il lui arrive de dire « Ouille », « J'te donne la balle, mais me tape pas ! » ou encore « Pas sur le visage ! ») et il est décidé à se faire un nom... dans la ligne de la Lointaine Albion.
Il ne lui reste plus qu'à survivre aux coups bas, à la triche éhontée et aux ballons explosifs… sans parler de ce que lui réservent les joueurs de l'autre équipe !

Voici le deuxième épisode de la série consacrée à Blood Bowl.
Le thème du sport est traité avec beaucoup d'humour, qui a mon goût, est trop décalé avec l'univers de Warhammer.
Nous retrouvons Dunk et son équipe des Hackers, qui dés le début se font laminés par les Champions All-Stars. Et pour se refaire une santé, ils décident de partir dans la lointaine Albion pour retrouver le trophée mythique. Ils rencontreront Robin et ses compagnons qui volent aux riches pour donner aux pauvres, et Merlin le magicien. Ils intégreront Edgar, un homme-arbre trouvé dans le Bois Sûr. Ils arriveront à récupérer la coupe et deviendront invincibles. Et ils finiront par revenir sur le Vieux Monde où ils finiront par recontrer en finale les Reavers. Mais la fin, je ne vous la raconterais pas... na...
Un roman qui se lit facilement et qui ne restera pas longtemps dans votre mémoire. C'est un peu fade et parfois, un peu trop lourd... Je lirais après avoir acheté comme un bon pigeon le dernier roman de la trilogie mais pas plus...

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 18:31

horla Ce volume de récits fantastiques, pour la plupart écrits de 1882 à 1887, Maupassant ne l'a pas lui-même composé. A les lire à la suite, rassemblés selon leur ordre de publication, on comprendra mieux cependant que le fantastique est une constante de l'oeuvre - et qui est apparue très tôt : contrairement à ce qu'une certaine légende a fait croire, Maupassant, bien que la folie l'ait terrassé à la fin de sa vie, n'a pas écrit sous sa dictée.
Mais s'agit-il vraiment de fantastique ? Rien de surnaturel ici, ni de merveilleux. Mais des histoires qui font place à l'angoisse et à la cruauté, à la folie et à la peur, à la division de l'être qui s'analyse avec lucidité.
Le génie de l'auteur est alors de rendre son lecteur captif, d'agir sur sa conscience et de lui faire croire avec naturel et simplicité que ce fantastique intérieur, cohérent et logique, est aussi la vie ordinaire, mais devenue soudain étrange.

 

Ces récits sont extrêmement bien écrits. On prend plaisir à les lire. Les nouvelles ne relatent en aucun cas des histoires fantastiques mais plutôt la peur et l'angoisse de l'homme face à l'inconnu et aux superstitions. L'approche est bien maîtrisée et on se retrouve à sourire devant l'absurdité des croyances et des craintes qui font tressaillir même les plus costauds des hommes. Bien sûr, par rapport aux auteurs contemporains, ces histoires manquent d'énergie, mais pour l'époque, ces histoires devaient faire frémir d'angoisse les lecteurs. De les lire dans leur ordre de parution nous montre l'évolution de l'écrivain dans le domaine qu'il maîtrise de mieux en mieux, un vrai plaisir que de le lire à nouveau.

 

Le peuple est un troupeau imbécile, tantôt stupidement patient et tantôt férocement révolté. On lui dit : "amuse-toi." Il s’amuse. On lui dit : "Vote pour l’Empereur." Il vote pour l’Empereur. Puis, on lui dit : "Vote pour la République. Et il vote pour la République."
Ceux qui le dirigent sont aussi sots, mais au lieu d’obéir à des hommes, ils obéissent à des principes, c’est-à-dire des idées réputées certaines et immuables, en ce monde où l’on n’est sûr de rien, puisque la lumière est une illusion, puisque le bruit est une illusion.

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